Mon niveau d'écriture.

J'aimerais vous proposer un avant-goût de mon niveau d'écriture, n'ayant rien de court à vous proposer je vais faire un court texte sur l'image en haut de la page (si vous avez lu ma présentation vous savez que je suis fascinée par ses cils !)

J'étais très en retard. Mon réveil n'avait pas sonné à sept heure à cause d'une panne courant dans la nuit.
Il était à présente huit heure moins cinq, les cours allaient bientôt commencer. Heureusement, j'avais pris une chambre d'étudiants sur le campus de ma fac. Ma collocataire, elle, avait déjà du partir puisqu'elle n'était plus là, dans la chambre. Elle aurait tout de même pu me réveiller au passage au lieu de me laisser dormir comme un loir.
Je me hâtais de mettre mon mascara, du stick à lèvres, les miennes étaient gercées en cette période de Décembre. J'étais fin prête. Je pris mon sac qui trainait sur mon lit, et ouvrit la porte rapidement, la refermant aussitot dans un claquement sec. Un tour dans la serrure pour la fermer à clef, puis je détalai vers la sortie. A ma grande surprise, de la neige tombait du ciel, recouvrant le béton de son manteau blanc. Il avait du neiger toute la nuit.
Je marchais à travers la neige qui gênait le passage, chassant de temps à autre la neige sur mon manteau et dans ma longue chevelure blanche. Au travers d'une vitre j'aperçus mon propre reflet, un visage aux traits délicats, des yeux couleur de jade. Comme d'habitude mon visage était impassible à tout ce qui m'entourait. Ce visage tellement parfait et qui pourtant n'inspirait qu'une grande crainte. Une beauté dévastatrice...
Je m'étonnai soudain de n'avoir croisé ne serait-ce qu'un étudiant. La zone était devenue déserte, calme, silencieuse. De quoi avoir la chair de poule. J'enroulai mieux mon écharpe autour du cou, puis je repris mon chemin.
C'est alors que je compris ce qui était en train de se passer...
Des cadavres s'entassaient dans la neige devenue équarlate à cause du sang versé. On aurait dit qu'une meute affamée étaient passée par là, et avait déchiqueté les personnes sur son passage. Les corps avaient été griffé, lacéré, il manquait même parfois une main, ou un bout de chair.
Je reculai d'un pas, deux.
Je saisis de mes mains mon écharpe que je plaquai imméditamment sur mon nez. L'odeur du sang et de la chair en putréfaction m'étaient insupportables. Je devais me mordre la joue pour ne pas crier devant ces horreurs. Le pire fut de découvrir le corps de mes camarades, je n'irai pas à dire mes amis puisqu'il n'y avait jamais eu de lien aussi fort, mais j'avais partagé de bons moments avec eux. Ils étaient si pâles, comme s'ils étaient le propre reflet de la mort.
Je fermais les yeux. Une profonde rage naissait en moi, ce mêlant à la tristesse de ce paysage. J'étais pourtant incapable de pleurer ces âmes défuntes.
Soudain je sentis une présense dans mon dos. Je n'étais plus seule. Je fis brusquement volteface, et identifai l'individu. Je ne le connaissais pas. Un homme grand, d'une vingtaine d'années, les cheveux blancs en bataille, des yeux turquoises comme l'océan.
Je me mis sur mes gardes, persuadée qu'il avait à voir avec ces horreurs. Lui, il échappa un rire léger.
-Tu n'as rien à craindre de moi, Anne.
Comment connaissait-il mon prénom ? Je l'ignorais. Lorsque je m'étais inscrite dans cette faculté j'avais choisi un nom d'emprunt. Vanessa Marquez. Je trouvais que Anne faisait innocent, or je n'avais rien d'une sainte. Ce n'était pas un nom adapter pour quelqu'un de ma race.
-Je n'ai rien à voir avec ces affreusités tu peux me croire. Je suis là pour t'aider.
Je reculais toujours. Mes pieds percutèrent un obstacle, et je tombai par terre. Mon sac roula à mes côtés. L'inconnu me tendit alors une main pour m'aider à me relever. Je n'acceptai pas son aide et me relevai lestement. Il soupira.
-Pourquoi tant de méfiance à mon égard ?
J'étais toujours prête à me défendre au moindre geste suspect, et je savais parfaitement me battre. Quand avais-je appris des techniques de combat ? Je l'ignorais tout bonnement.
-Qui es-tu ? Articulai-je en coupant à chaque syllabe.
Un grand sourire se traça sur son visage angélique, ce qui eut le don de m'agacer. Puis il leva sa main vers moi. Aussitôt, je luis pris le bras, croyant qu'il allait m'attaquer, mais il fut bien plus rapide à ma grande stupeur, et je tombai une seconde fois au sol.
Il se pencha sur moi, tout sourire, et je lui envoyai mon poing droit en plein visage.
-Aie ! S'exclama-t-il tout en portant sa main à sa joue.
-Qui es-tu ? Redemandai-je de la même manière.
Je me relevai et lui fis de nouveau face. De ma main gauche je chassais la neige sur mes vêtements, ainsi que dans ma chevelure à présent humide. Je ne quittai pas mon ennemi des yeux pour autant.
-Je suis... Commença-t-il lentement. L'un des derniers Rodak. Comme toi.
J'étais stupéfaite par son baratin. Je n'avais nullement de lien quelconque avec lui, et je désirais encore moi en avoir un, de près ou de loin.
-Ne t'es-tu jamais demandé pourquoi tu as une chevelure blanche et de fabuleux yeux turquoises ? Pourquoi tu es dotée d'une telle beauté ? Comment se fait-il que tu ais d'extraordinaire capacités physiques, même mentales ? Pourquoi tu as du mal à exprimer tes émotions et tes sentiments ?
Question rhétorique. Bien sur que je m'étais déjà posée plus d'une fois ces questions. Chaque fois la réponse était la même : j'eus une chance monstrueuse à ma naissance.
-La réponse n'est pas celle que tu crois, c'est dû à tes origines de Rodak. Bienvenue chez toi, Anne.

N'hésitez pas à commenter et critiquer.
Je mets dès à présent mes morceaux de texte bout à bout dans ce poste, mais je continuerai aussi de les poster dans un autre poste pour tous ceux et celles qui voudraient juger un morceau parce que vous auriez déjà critiquer le début.
PS: j'ai essayé de ne pas trop surchargé puisque l'un de mes gros defauts et de trop surcharger mon texte.

Merci pour vos commentaires ça fait plaisir.
J'essaie de m'améliorer pour rendre le texte léger, mais vous verrez parfois je posterai certains bout de texte qui sont assez chargés car desfois je n'arrive pas à régler ce défaut là.

Allez ! J'écris un autre bout !

Des cadavres s'entassaient dans la neige devenue équarlate à cause du sang versé. On aurait dit qu'une meute affamée étaient passée par là, et avait déchiqueté les personnes sur son passage. Les corps avaient été griffé, lacéré, il manquait même parfois une main, ou un bout de chair.
Je reculai d'un pas, deux.
Je saisis de mes mains mon écharpe que je plaquai imméditamment sur mon nez. L'odeur du sang et de la chair en putréfaction m'étaient insupportables. Je devais me mordre la joue pour ne pas crier devant ces horreurs. Le pire fut de découvrir le corps de mes camarades, je n'irai pas à dire mes amis puisqu'il n'y avait jamais eu de lien aussi fort, mais j'avais partagé de bons moments avec eux. Ils étaient si pâles, comme s'ils étaient le propre reflet de la mort.
Je fermais les yeux. Une profonde rage naissait en moi, ce mêlant à la tristesse de ce paysage. J'étais pourtant incapable de pleurer ces âmes défuntes.
Soudain je sentis une présense dans mon dos. Je n'étais plus seule. Je fis brusquement volteface, et identifai l'individu. Je ne le connaissais pas. Un homme grand, d'une vingtaine d'années, les cheveux blancs en bataille, des yeux turquoises comme l'océan.
Je me mis sur mes gardes, persuadée qu'il avait à voir avec ces horreurs. Lui, il échappa un rire léger.
-Tu n'as rien à craindre de moi, Anne.
Comment connaissait-il mon prénom ? Je l'ignorais. Lorsque je m'étais inscrite dans cette faculté j'avais choisi un nom d'emprunt. Vanessa Marquez. Je trouvais que Anne faisait innocent, or je n'avais rien d'une sainte. Ce n'était pas un nom adapter pour quelqu'un de ma race.
-Je n'ai rien à voir avec ces affreusités tu peux me croire. Je suis là pour t'aider.

Je reculais toujours. Mes pieds percutèrent un obstacle, et je tombai par terre. Mon sac roula à mes côtés. L'inconnu me tendit alors une main pour m'aider à me relever. Je n'acceptai pas son aide et me relevai lestement. Il soupira.
-Pourquoi tant de méfiance à mon égard ?
J'étais toujours prête à me défendre au moindre geste suspect, et je savais parfaitement me battre. Quand avais-je appris des techniques de combat ? Je l'ignorais tout bonnement.
-Qui es-tu ? Articulai-je en coupant à chaque syllabe.
Un grand sourire se traça sur son visage angélique, ce qui eut le don de m'agacer. Puis il leva sa main vers moi. Aussitôt, je luis pris le bras, croyant qu'il allait m'attaquer, mais il fut bien plus rapide à ma grande stupeur, et je tombai une seconde fois au sol.
Il se pencha sur moi, tout sourire, et je lui envoyai mon poing droit en plein visage.
-Aie ! S'exclama-t-il tout en portant sa main à sa joue.
-Qui es-tu ? Redemandai-je de la même manière.
Je me relevai et lui fis de nouveau face. De ma main gauche je chassais la neige sur mes vêtements, ainsi que dans ma chevelure à présent humide. Je ne quittai pas mon ennemi des yeux pour autant.
-Je suis... Commença-t-il lentement. L'un des derniers Rodak. Comme toi.
J'étais stupéfaite par son baratin. Je n'avais nullement de lien quelconque avec lui, et je désirais encore moi en avoir un, de près ou de loin.
-Ne t'es-tu jamais demandé pourquoi tu as une chevelure blanche et de fabuleux yeux turquoises ? Pourquoi tu es dotée d'une telle beauté ? Comment se fait-il que tu ais d'extraordinaire capacités physiques, même mentales ? Pourquoi tu as du mal à exprimer tes émotions et tes sentiments ?
Question rhétorique. Bien sur que je m'étais déjà posée plus d'une fois ces questions. Chaque fois la réponse était la même : j'eus une chance monstrueuse à ma naissance.
-La réponse n'est pas celle que tu crois, c'est dû à tes origines de Rodak. Bienvenue chez toi, Anne.